Une éthique comme socle
sur lequel fonder nos décisions

Pour éviter d'aller par mégarde à l'encontre de notre but, nous formulons une éthique, qui concerne la société humaine et l'environnement dans lequel elle s'inscrit, et qui est pensée en miroir de ce qui nous fait horreur dans le monde actuel. Elle n'est bien entendu pas immuable, mais l'idée reste néanmoins de ne pas revenir sur ce qui est nous permet de ne pas blesser, mais de seulement ajouter de nouveaux garde-fous.

Préserver les personnes

Préserver notre environnement

Rester anti-consuméristes


Une fois posées les conditions non négociables de la fabrication de nos outils, sans lesquelles leur production pourrait faire plus de mal que de bien, reste à dire comment nous comptons, dans les fait, nous organiser pour les produire !


  1. Nous tenons à rappeler que le racisme anti-blanc n'existe pas, et que, point plus consensuel, dans ce contexte, être atteint d'albinisme n'implique certainement pas d'être compté dans la catégorie des personnes blanches... 

  2. Récolter le minerais en surface évitera aussi les accidents de mine, produire du fer ne justifiera jamais d'aller mourir sous terre... 

  3. Nos outils sont comme toutes les choses du monde : ils vieillissent, se dégradent, et retournent à un état préexistant ; vouloir briser ce cycle est illusoire. Nos outils s'usent en servant, puisque c'est ce que veut dire le mot "usage". Si leurs matériaux persistent une fois que leur forme les rend inutilisables, ce sont des déchets. On peut préserver leurs matériaux autrement pendant le temps où la forme convient, par un entretien régulier. Ainsi tout ce qui ne sert pas – et n'est donc pas entretenu – se dégrade, et cela incite également à ne pas accumuler de choses non nécessaires, puisque leur préservation prend du temps.